

Entre les mots, le chant et le trait ...
Aux jeux sonores du texte, à ses interrogations poétiques ou intimes,
répond le timbre singulier de la contrebasse ou du violon.
En écho, le dessin se superpose
à la musicalité des mots et recrée
de manière libre
et improvisée son propre langage.
Les mots rebondissent, le pinceau glisse,
le son enveloppe la scène ...
<< Cent signes de ses taillis dessinent
Le souffle court du cru de l’air creuse
Ébouriffé du froid du bois se tait... >>